in “II o Congrès International de Thérapie Psycho-corporelle” – S.te Adéle, Quebec, Canada, Ottobre 1990 – Institut de Croissance Holistique, Montréal.
Luciano Rispoli, Psychologue, Psychothérapeute. Président S.I.F. (Société Italienne de Psychothérapie Fonctionnelle Corporelle).
La Psychothérapie Fonctionnelle Corporelle prend son début de la Végétothérapie analitique-caracterielle de W.Reich. Concevue et réalisée pendant vingt ans d’activité et de recherche par Mo. L. Rispoli (à la guide de la S.I.F.- Société Italienne de Psychothérapie Fonctionnelle Corporelle et du Centre Etudes W. Reich) elle se présente comme un corpus théorique articulé et complexe: un modèle de développement évolutif; une théorie globale de la personnalité; une hypothèse étiopathogenetique sur l’origine des altérations et des troubles; une technique diagnostique et thérapeutique, une méthodologie concernant la formation.
Principes concernant la structuration de la personnalité. Théorie générale.
La Thérapie Fonctionnelle soutien une vision holistique de l’individu (des l’enfance), non pas au sens d’un “tout” vague et indistinct, mais d’une présence de plans et de zones fonctionnelles bien précisées, ayant entre eux un profond rapport de relation dès le début (Intégration primaire). L’intérêt n’est pas seulement adressé aux gestes-signaux, ou aux mouvements extérieurs, mais même a la morphologie, aux petits mouvements, aux mouvements involontaires, internes/physiologiques, etc. La conception fonctionnelle du Soi consiste a un ensemble articulé de plusieurs fonctions (au delà de la doublé dimension psyché – soma) originairement toutes présentes et strictement intégrées, qui peuvent être subdivisées en quatre grandes zones, dont chacune est composée de plusieurs processus fonctionnels et de plusieurs sub-niveaux:
LE POSTURAL – Les grands et les petits mouvements. Les mouvements involontaires. La configuration morphologique. La structure musculaire.
LE COGNITIF – SYMBOLIQUE – La rationalité. Les souvenirs. Les fantaisies. Le monde du symbolique. L’imagination.
L’EMOTIF – Les sentiments positifs et négatifs. La perception du Soi. Les sentiments continuellement présents ou réprimés.
LE PHYSIOLOGIQUE – Les systèmes et les apparats intérieurs (le neurovégétatif, le respiratoire, le cardio-vasculaire, l’immunitaire, le digestif, l’hormonal, etc.) Les perceptions. Le tact. Le ton musculaire de base.
C’est vrai que dans le développement de l’enfant les différentes fonctions deviennent plus complexes, les nuances et les coloris augmentent, mais on n’ajoute ni nouvelles structures ni nouvelles fonctionnes. En particulier il est évident qu’on a dépassé l’hypothèse que chaque phase du développement évolutif a une bien déterminée focalisation sur une zone corporelle. On pense plutôt à une implication en toutes les phases des parties du corps impliquées au même temps à exprimer ou à réprimer les différentes émotions, les conditions de la relation. Il n’y a donc pas une connexion mécanique entre les parties du corps et déterminées émotions, mais il faut plutôt viser a une stratification des émotions dans les différentes zones du corps, ou plus précisément des issues des événements et des relations (la façon où ont changés les rapports) sur tous les niveaux du Soi: des les seuils de la perception aux souvenirs, des les émotions aux postures, dès la mémoire corporelle aux fantaisies, etc.
Principes concernant les altérations et le surgir des troubles – Théorie pathogénique.
Les altérations de l’intégration primaire sont dues fondamentalement à l’impact négatif avec l’ambiance, qui devient en suite conflit intérieur. Nous pouvons avoir des clivages entre les différentes zones fonctionnelles (ou a l’intérieur de la même zone), un radissement des fonctions, un hiperdéveloppement. La cuirasse musculaire n’est pas seulement vue comme contraction, mais comme une fixité du tonus de base musculaire. L’altération des appareils physiologiques aussi n’est pas considérée “a sens unique” (par exemple comme une basse perceptivité ou une exagérée sympathicotonie) mais comme une limitation de la mobilité, ou comme la présence de brusques changements pas utiles a la situation extérieure. Le caractère n’est pas alors une typologie, mais une constellation d’altérations du Soi, c’est a dire une réduction de la mobilité, des stratégies, des chemins (faux Soi). Donc le caractère n’est pas alternatif au symptôme, mais est un processus général d’altération du Soi, avec une présence de symptômes, de refoulements (et pas seulement au niveau de la conscience), d’altération des émotions et de la mémoire.
Méthodologies thérapeutiques et d’intervention. Théorie de la technique.
L’approche de la Psychothérapie Fonctionnelle ne se limite pas seulement au physique, mais il comprend toujours a son intérieur tous les plans de la relation (les souvenirs, les émotions, les perceptions, les idéations, les mouvements, etc.). Le travail thérapeutique sur tous ces plans est du a l’hypothèse de fond qu’un changement sur un pian ne porte pas automatiquement des changements stables et profonds en même temps sur les autres niveaux. Le concept de transfert reste donc un des points centraux, mais entendu comme champ transferal élargi a tous les plans du Soi. La Thérapie Fonctionnelle a comme concept – pivot celui de la “régression psychosomatique”, une régression a zones profondes, justement a travers ces plans fonctionnels les moins rigides et les moins connectés au faux-Soi. La régression n’est pas chronologique, au temps passe/mais vers les zones du Soi où les fonctions sont encore intégrées entre elles. Le travail thérapeutique consiste à une patiente élargissure graduelle de l’intégration à toute la structure du Soi. Il s’agit de rattacher graduellement fonctions et processus, là où sont intervenues des clivages; de développer les zones hypotrophiques et d’atténuer celles les plus violement répandues; de rendre mobilité là où il y a du raidissement, de la sclérose, des réponses stéréotypées. La mobilité est le but qui, en général, peut contenir tous les objectifs les plus parties, consistants a rendre a l’individu l’entière gamme perceptive, idéative, motrice ou cognitive, selon le cas.
Nouvelles perspectives.
En Thérapie Fonctionnelle nous pouvons compter sur un repérage de stratégies thérapeutiques bien précises: stratégies globales qui découlent d’un correct diagnostic fonctionnel. Il existent des façons de procéder indiquées pour le patient même dans le travail le plus spécifiquement somatique. On n’avance pas d’une façon fixe, (de haute vers le bas, par exemple) mais a partir des “points-clefs”, a travers des districts corporels qui sont “fonctionnellement liées”. Il existe donc des facteurs de changement bien définis. Et ceux-ci ne consistent pas en général a faire décharger, a ressentir ou exprimer des émotions, faire exploser, faire arriver des choses éclatantes, mais il s’agit plutôt d’un processus qui rééquilibre la configuration du Soi a travers la relation avec le thérapeute dans une histoire différente de son passe. Cette vision fonctionnelle (ayant en psychologie des précédents scientifiques de grand relief) nous permet d’ouvrir de nouvelles frontières de recherches et d’intervention sur les lois qui règlent 1’interconnexion de toutes les fonctions psychocorporelles. Au moment nos recherches (au delà de l’application du modèle aux groups, à la famille à la naissance à l’éducation des enfants) sont adressées au sujet du STRESS, a quels facteurs psychocorporels le rendent chronique (état permanent d’altération),a quels sont les méthodes les plus efficaces pour renverser ce processus. On étude fonctionnellement tous les plans qui raccordent le macro avec le micro, les rues qui conduisent des comportements et mouvements visibles et réalisables des l’extérieur aux fines et complexes modifications biochimiques/bioélectriques, hormonales, etc., internes. Les perspectives sont de réussir à intervenir sur des processus fondamentaux tel que les immunologiques, sur les maladies toutes, et en particulier sur les cardiopathies et sur le cancer.
Evaluation des effets.
Les critères d’évaluation internes (au processus thérapeutique) consistent dans le jugement subjectif du patient d’être bien, d’être grandi et autonome, et des similaires sensations du thérapeute. Les externes sont de deux tipes. D’un côté on a ceux qui sont liés au relèvement des donnés objectifs: mains plus chaudes et moins suées, moins de tachycardies, douleurs ou peines disparues, bailles, postures, traits du visage/etc. Sont les critères liés aux objectifs de recouvrer la mobilité, la largeur des gammes: d’expressions, de mouvements, de tonus musculaire, d’émotions, etc. Les autres sont des critères déduits du dépassement des différentes phases dans lesquelles se développent la thérapie et la relation et déduits du passage,chaque fois, à la phase suivante jusqu’à la finale.